St Nazaire – Pornic
On part tôt le matin pour prendre un
bus (bha oui…) pour traverser le pont de St Nazaire. Sécurité oblige...
La ligne 17, fait passer le pont aux vélos. |
Après avoir tout remis en place à la
sortie du bus (sacoches, carrioles, Maïa dans la sacoche… heu…
dans la carriole… etc) on repart en suivant la Vélocéan. Wahou !
Avec un nom comme ça, ça doit être trop beau ! … heu…
bein… vélo, oui… océan… non. On ne voit pas beaucoup l'océan
sur la Vélocéan. En tous cas pas sur la portion Guérande (oui ça
avait déjà commencé là-bas) – Pornic.
On arrive à Pornic dans une maison
qu'on connait bien puisque c'est la maison de vacance des parents
d'Hélène. C'est pour eux qu'on a fait ce détour, parce que pour
ceux qui ne sont pas doués en géo : Pornic c'est pas sur la
Loire…
Le 17 Avril nous avons rendez-vous pour
une visio-conférence avec la commune de St Evarzec (juste à coté
de chez nous) pour parler de notre projet au sein de leur événement :
le tour du Finistère à vélo. Evidemment, c'est le seul jour ou on
a absolument besoin d'internet et c'est le seul jour depuis le début
du voyage ou nos hôte n'ont pas internet… Bha oui, qui dit maison
de vacance dit moins d'abonnements divers…
Branle bas de combat, on s'arrange avec
le Bar du coin (le Bahia) pour avoir une connexion. Ça finit par
marcher (internet), mais pas de nouvelles de nos interlocuteurs
Finistériens, si ce n'est un texto pour nous dire qu'ils se
galèrent…
Bon, on vous passe les détails mais
notre super visio-conf est tombée à l'eau… Allô quoi !
Les plans foireux ne font que commencer
et le moral vacille. Je ne me souviens plus de l'ordre des
"mauvaises" nouvelles, mais on a quelques plans prévus
pour la suite de la tournée qui ne se feront pas, (faute de moyen,
faute de temps, faute de date, faute de…) et notre seule assistante
de tournée (Lucie) qui devait nous accompagner à Nantes ne pourra
pas venir…
Et la semaine à St Brévin nous
attends avec plein de péripéties (on vous en parlera plus loin).
A tout cela, beaucoup de questions
naissent de cette instabilité du projet, de la suite, de l'après…
etc…Et forcément dans ces moments là, la relation à Maïa n'est
pas simple (je parle surtout pour moi).
Hé oui, on s'y attendait, un voyage
comme ça, ça secoue aussi pas mal… et pas forcément là ou on a
envie. Et ça pique un peu…
Allez, on sait pourquoi on fait ce
projet et il y a des moment géniaux ! C'est reparti !
Courage !
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