De Blois, cap sur Lyon.
On a 15 jours
pour traverser environ 600km, donc il va falloir pédaler !
Sur la route on fête nos premiers
1000km de voyage ! Youpi !
Ça donne un peu le vertige de
se dire qu'on est à la moitié du parcours.
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Le
problème c'est qu'on ne sait pas encore vraiment où est ce qu'on
loge tout au long de ce trajet. On ne sait pas non plus quelles vont
être les étapes : un problème dépendant de l'autre…
On trouve nos logements la veille pour
le lendemain mais avec de bonnes surprises.
Sembleçay tout d'abord,
à coté de
Romorantin.
Et plouf ! |
On débarque alors en pleine campagne
chez "les Chris" (Christian et Christine).
Un charmant
couple de l'âge de nos parents qui nous accueillent avec un jacuzzi
dans leur jardin.
C'est pas de refus avec tous ces kilomètres et ce
stress emmagasiné ! Surprise inespérée et mémorable !
On prend ensuite la route de Bourges
pour s'arrêter à Preuilly.
"Je suis pas fatiguée !" |
ZZZZzzzzzz… |
Son
propriétaire, Jean-Luc tenant aussi une guinguette pour la période
estivale. On est invité au resto de la guinguette, nouvelle petite
surprise fort agréable.
Que choisir ? |
Maïa voudrait changer de mode de transport… |
Ne pouvant rejoindre Nevers en une
seule fois depuis Preuilly et ne trouvant personne pour nous
accueillir à mi-chemin entre Bourges et Nevers, on trouve en
dernière minute à se loger à Bourges en décidant de faire
Bourges-Nevers d'une traite le lendemain.
Il y a 70 km et un peu de
dénivelé mais, d'une part, on n'a plus le choix, d'autre part,
c'est gérable !
C'est une petite étape entre Preuilly
et Bourges donc, cela nous laisse le temps de passer à la
médiathèque de Bourges pour chercher des solutions pour la suite du
voyage, parce que pour le moment, on est coincé à partir de Nevers.
Le stress monte de plus en plus, on se prend sérieusement la tête
avec Hélène, pour finalement se rendre compte qu'on doit se
remettre d'accord sur les exigences et les priorités de l'un et de
l'autre. C'est fatiguant mais formateur les engueulades.
Ça confirme
qu'en temps que couple on tient la route !
On évoque le fait de prendre le train
à Nevers pour traverser la Bourgogne et rejoindre la Saône à
Châlon.
On est accueilli le soir dans la coloc
d'Ophélia avec qui on n'a pas beaucoup le temps de discuter parce
qu'elle a une répé avec sa Batukada.
Mais elle arrive à nous
remonter un peu le moral.
Apprenant que l'on passe par Grenoble par
la suite, elle nous oblige (si si !) à passer chez son copain
qui y habite.
Ok ok, on ne va quand même pas refuser les contacts
quand ils nous tombent comme ça tout cuit dans le bec !
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